Jean chapitre 5
- Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
- Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.
- Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l’eau ;
- car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l’eau ; et celui qui y descendait le premier après que l’eau avait été agitée était guéri, quelle que fût sa maladie.
- Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.
- Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était malade depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ?
- Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi.
- Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.
- Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son lit, et marcha.
- C’était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri : C’est le sabbat ; il ne t’est pas permis d’emporter ton lit.
- Il leur répondit : Celui qui m’a guéri m’a dit : Prends ton lit, et marche.
- Ils lui demandèrent : Qui est l’homme qui t’a dit : Prends ton lit, et marche ?
- Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c’était ; car Jésus avait disparu de la foule qui était en ce lieu.
- Depuis, Jésus le trouva dans le temple, et lui dit : Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire.
- Cet homme s’en alla, et annonça aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
- C’est pourquoi les Juifs poursuivaient Jésus, parce qu’il faisait ces choses le jour du sabbat.
- Mais Jésus leur répondit : Mon Père agit jusqu’à présent ; moi aussi, j’agis.
- À cause de cela, les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, non seulement parce qu’il violait le sabbat, mais parce qu’il appelait Dieu son propre Père, se faisant lui-même égal à Dieu.
- Jésus reprit donc la parole, et leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.
- Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu’il fait ; et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement.
- Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il veut.
- Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils,
- afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l’auront entendue vivront.
- Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même.
- Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme.
- Ne vous étonnez pas de cela ; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront.
- Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement.
- Je ne puis rien faire de moi-même : selon que j’entends, je juge ; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.
- Si c’est moi qui rends témoignage de moi-même, mon témoignage n’est pas vrai.
- Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu’il rend de moi est vrai.
- Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
- Pour moi ce n’est pas d’un homme que je reçois le témoignage ; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
- Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
- Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé.
- Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n’avez jamais entendu sa voix, vous n’avez point vu sa face,
- et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu’il a envoyé.
- Vous sondez les écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
- Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !
- Je ne tire pas ma gloire des hommes.
- Mais je sais que vous n’avez point en vous l’amour de Dieu.
- Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
- Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul ?
- Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père ; celui qui vous accuse, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
- Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi.
- Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ?
Oppositions à Jésus
Guérison à la piscine de Béthesda
Cette Bible est dans le domaine public.
Jean, chapitre 5
- Après cela, il y eut une fête des Juifs et Jésus monta à Jérusalem.
- Or il existe à Jérusalem, près de la Probatique, une piscine qui s'appelle en hébreu Bethesda et qui a cinq portiques.
- Sous ces portiques gisaient une multitude d'infirmes, aveugles, boiteux, impotents, qui attendaient le bouillonnement de l'eau.
- Car l'ange du Seigneur descendait par moments dans la piscine et agitait l'eau ; le premier alors à y entrer, après que l'eau avait été agitée, se trouvait guéri, quel que fût son mal.
- Il y avait là un homme qui était infirme depuis trente-huit ans.
- Jésus, le voyant étendu et apprenant qu'il était dans cet état depuis longtemps déjà, lui dit : " Veux-tu guérir ? "
- L'infirme lui répondit : " Seigneur, je n'ai personne pour me jeter dans la piscine, quand l'eau vient à être agitée ; et, le temps que j'y aille, un autre descend avant moi. "
- Jésus lui dit : " Lève-toi, prends ton grabat et marche. "
- Et aussitôt l'homme fut guéri ; il prit son grabat et il marchait. Or c'était le sabbat, ce jour-là.
- Les Juifs dirent donc à celui qui venait d'être guéri : " C'est le sabbat. Il ne t'est pas permis de porter ton grabat. "
- Il leur répondit : " Celui qui m'a guéri m'a dit : Prends ton grabat et marche. "
- Ils lui demandèrent : " Quel est l'homme qui t'a dit : Prends ton grabat et marche ? "
- Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était ; Jésus en effet avait disparu, car il y avait foule en ce lieu.
- Après cela, Jésus le rencontre dans le Temple et lui dit : " Te voilà guéri ; ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive pire encore. "
- L'homme s'en fut révéler aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri.
- C'est pourquoi les Juifs persécutaient Jésus : parce qu'il faisait ces choses-là le jour du sabbat.
- Mais il répondit : " Mon Père est à l'uvre jusqu'à présent et j'uvre moi aussi "
- Aussi les Juifs n'en cherchaient que davantage à le tuer, puisque, non content de violer le sabbat, il appelait encore Dieu son propre Père, se faisant égal à Dieu.
- Jésus reprit donc la parole et leur dit : " En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, qu'il ne le voie faire au Père ; ce que fait celui-ci, le Fils le fait pareillement.
- Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu'il fait ; et il lui montrera des uvres plus grandes que celles-ci, à vous en stupéfier.
- Comme le Père en effet ressuscite les morts et leur redonne vie, ainsi le Fils donne vie à qui il veut.
- Car le Père ne juge personne ; il a donné au Fils le jugement tout entier,
- afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit à celui qui m'a envoyé a la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, l'heure vient - et c'est maintenant - où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront.
- Comme le Père en effet a la vie en lui-même, de même a-t-il donné au Fils d'avoir aussi la vie en lui-même
- et il lui a donné pouvoir d'exercer le jugement parce qu'il est Fils d'homme.
- N'en soyez pas étonnés, car elle vient, l'heure où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix
- et sortiront : ceux qui auront fait le bien, pour une résurrection de vie, ceux qui auront fait le mal, pour une résurrection de jugement.
- Je ne puis rien faire de moi-même. Je juge selon ce que j'entends : et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.
- Si je me rends témoignage à moi-même, mon témoignage n'est pas valable.
- Un autre témoigne de moi, et je sais qu'il est valable le témoignage qu'il me rend.
- Vous avez envoyé trouver Jean et il a rendu témoignage à la vérité.
- Non que je relève du témoignage d'un homme ; si j'en parle, c'est pour votre salut.
- Celui-là était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
- Mais j'ai plus grand que le témoignage de Jean : les uvres que le Père m'a donné à mener à bonne fin, ces uvres mêmes que je fais me rendent témoignage que le Père m'envoie.
- Et le Père qui m'a envoyé, lui, me rend témoignage. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez jamais vu sa face,
- et sa parole, vous ne l'avez pas à demeure en vous, puisque vous ne croyez pas celui qu'il a envoyé.
- Vous scrutez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle, et ce sont elles qui me rendent témoignage,
- et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !
- De la gloire, je n'en reçois pas qui vienne des hommes ;
- mais je vous connais : vous n'avez pas en vous l'amour de Dieu ;
- je viens au nom de mon Père et vous ne m'accueillez pas ; qu'un autre vienne en son propre nom, celui-là, vous l'accueillerez.
- Comment pouvez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres, et ne cherchez pas la gloire qui vient du Dieu unique.
- Ne pensez pas que je vous accuserai auprès du Père. Votre accusateur, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espoir.
- Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, car c'est de moi qu'il a écrit.
- Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? "
© Les Éditions du Cerf 1997
- Après ces choses il y avait une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
- Or il y a à Jérusalem, au marché aux brebis, un lavoir appelé en Hébreu Béthesda ayant cinq portiques ;
- Dans lesquels gisait un grand nombre de malades, d’aveugles, de boiteux, [et de gens] qui avaient les membres secs, attendant le mouvement de l’eau.
- Car un Ange descendait en certains temps au lavoir, et troublait l’eau ; et alors le premier qui descendait au lavoir après que l’eau en avait été troublée, était guéri, de quelque maladie qu’il fût détenu.
- Or il y avait là un homme malade depuis trente-huit ans.
- [Et] Jésus le voyant couché par terre, et connaissant qu’il avait déjà été là longtemps, lui dit : veux-tu être guéri ?
- Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne qui me jette au lavoir quand l’eau est troublée, et pendant que j’y viens, un autre y descend avant moi.
- Jésus lui dit : lève-toi, charge ton petit lit, et marche.
- Et sur-le-champ l’homme fut guéri, et chargea son petit lit, et il marchait. Or c’était [un jour] de Sabbat.
- Les Juifs donc dirent à celui qui avait été guéri : c’est [un jour] de Sabbat, il ne t’est pas permis de charger ton petit lit.
- Il leur répondit : celui qui m’a guéri m’a dit : charge ton petit lit, et marche.
- Alors ils lui demandèrent : qui est celui qui t’a dit : charge ton petit lit, et marche ?
- Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c’était : car Jésus s’était éclipsé du milieu de la foule qui était en ce lieu-là.
- Depuis, Jésus le trouva au Temple, et lui dit : voici, tu as été guéri ; ne pèche plus désormais, de peur que pis ne t’arrive.
- Cet homme s’en alla, et rapporta aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
- C’est pourquoi les Juifs poursuivaient Jésus, et cherchaient à le faire mourir, parce qu’il avait fait ces choses [le jour du] Sabbat.
- Mais Jésus leur répondit : mon Père travaille jusqu’à maintenant, et je travaille aussi.
- Et à cause de cela les Juifs tâchaient encore plus de le faire mourir, parce que non seulement il avait violé le Sabbat, mais aussi parce qu’il disait que Dieu était son propre Père, se faisant égal à Dieu.
- Mais Jésus répondit, et leur dit : en vérité, en vérité je vous dis, que le Fils ne peut rien faire de soi-même, sinon qu’il le voie faire au Père : car quelque chose que le Père fasse, le Fils aussi le fait de même.
- Car le Père aime le Fils, et lui montre toutes les choses qu’il fait ; et il lui montrera de plus grandes œuvres que celle-ci, afin que vous en soyez dans l’admiration.
- Car comme le Père ressuscite les morts et les vivifie, de même aussi le Fils vivifie ceux qu’il veut.
- Car le Père ne juge personne ; mais il a donné tout jugement au Fils ;
- Afin que tous honorent le Fils, comme ils honorent le Père ; celui qui n’honore point le Fils, n’honore point le Père qui l’a envoyé.
- En vérité, en vérité je vous dis : que celui qui entend ma parole, et croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et il ne sera point exposé à la condamnation, mais il est passé de la mort à la vie.
- En vérité, en vérité je vous dis : que l’heure vient, et elle est même déjà [venue], que les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l’auront entendue, vivront.
- Car comme le Père a la vie en soi même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en soi-même.
- Et il lui a donné le pouvoir de juger parce qu’il est le Fils de l’homme.
- Ne soyez point étonnés de cela : car l’heure viendra, en laquelle tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix.
- Et ils sortiront, savoir ceux qui auront bien fait, en résurrection de vie ; et ceux qui auront mal fait, en résurrection de condamnation.
- Je ne puis rien faire de moi-même : je juge conformément à ce que j’entends, et mon jugement est juste ; car je ne cherche point ma volonté, mais la volonté du Père qui m’a envoyé.
- Si je rends témoignage de moi-même, mon témoignage n’est pas digne de foi.
- C’est un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu’il rend de moi est digne de foi.
- Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
- Or je ne cherche point le témoignage des hommes ; mais je dis ces choses afin que vous soyez sauvés.
- Il était une lampe ardente et brillante ; et vous avez voulu vous réjouir pour un peu de temps en sa lumière.
- Mais moi j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que mon Père m’a données pour les accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que mon Père m’a envoyé.
- Et le Père qui m’a envoyé, a lui-même rendu témoignage de moi ; jamais vous n’ouîtes sa voix, ni ne vîtes sa face.
- Et vous n’avez point sa parole demeurante en vous ; puisque vous ne croyez point à celui qu’il a envoyé.
- Enquérez-vous diligemment des Ecritures : car vous estimez avoir par elles la vie éternelle, et ce sont elles qui portent témoignage de moi.
- Mais vous ne voulez point venir à moi, pour avoir la vie.
- Je ne tire point ma gloire des hommes.
- Mais je connais bien que vous n’avez point l’amour de Dieu en vous.
- Je suis venu au Nom de mon Père, et vous ne me recevez point ; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
- Comment pouvez-vous croire, puisque vous cherchez la gloire l’un de l’autre, et que vous ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul ?
- Ne croyez point que je vous doive accuser envers mon Père ; Moïse sur qui vous vous fondez, est celui qui vous accusera.
- Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi ; vu qu’il a écrit de moi.
- Mais si vous ne croyez point à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ?
Oppositions à Jésus
Guérison à la piscine de Béthesda
Bible David Martin
Cette bible est dans le domaine public
ΚΑΤΑ ΙΩΑΝΝΗΝ 5 - Bible fr/grec S21/TR1550 JEAN 5
1 Après cela, il y eut une fête juive et Jésus monta à Jérusalem.
1 μετα ταυτα ην εορτη των ιουδαιων και ανεβη ο ιησους εις ιεροσολυμα
2 Or à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda et qui a cinq portiques.
2 εστιν δε εν τοις ιεροσολυμοις επι τη προβατικη κολυμβηθρα η επιλεγομενη εβραιστι βηθεσδα πεντε στοας εχουσα
3 Sous ces portiques un grand nombre de malades étaient couchés: des aveugles, des boiteux, des paralysés; [ils attendaient le mouvement de l'eau,]
3 εν ταυταις κατεκειτο πληθος πολυ των ασθενουντων τυφλων χωλων ξηρων εκδεχομενων την του υδατος κινησιν
4 [car un ange descendait de temps en temps dans la piscine et agitait l'eau; et le premier qui descendait dans l'eau après qu'elle avait été agitée était guéri, quelle que soit sa maladie.]
4 αγγελος γαρ κατα καιρον κατεβαινεν εν τη κολυμβηθρα και εταρασσεν το υδωρ ο ουν πρωτος εμβας μετα την ταραχην του υδατος υγιης εγινετο ω δηποτε κατειχετο νοσηματι
5 Là se trouvait un homme infirme depuis 38 ans.
5 ην δε τις ανθρωπος εκει τριακονταοκτω ετη εχων εν τη ασθενεια
6 Jésus le vit couché et, sachant qu'il était malade depuis longtemps, il lui dit: «Veux-tu être guéri?»
6 τουτον ιδων ο ιησους κατακειμενον και γνους οτι πολυν ηδη χρονον εχει λεγει αυτω θελεις υγιης γενεσθαι
7 L'infirme lui répondit: «Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine quand l'eau est agitée, et pendant que j'y vais, un autre descend avant moi.»
7 απεκριθη αυτω ο ασθενων κυριε ανθρωπον ουκ εχω ινα οταν ταραχθη το υδωρ βαλλη με εις την κολυμβηθραν εν ω δε ερχομαι εγω αλλος προ εμου καταβαινει
8 «Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton brancard et marche.»
8 λεγει αυτω ο ιησους εγειραι αρον τον κραββατον σου και περιπατει
9 Aussitôt cet homme fut guéri; il prit son brancard et se mit à marcher.
9 και ευθεως εγενετο υγιης ο ανθρωπος και ηρεν τον κραββατον αυτου και περιεπατει ην δε σαββατον εν εκεινη τη ημερα
10 C'était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri: «C'est le sabbat; il ne t'est pas permis de porter ton brancard.»
10 ελεγον ουν οι ιουδαιοι τω τεθεραπευμενω σαββατον εστιν ουκ εξεστιν σοι αραι τον κραββατον
11 Il leur répondit: «Celui qui m'a guéri m'a dit: ‘Prends ton brancard et marche.'»
11 απεκριθη αυτοις ο ποιησας με υγιη εκεινος μοι ειπεν αρον τον κραββατον σου και περιπατει
12 Ils lui demandèrent: «Qui est l'homme qui t'a dit: ‘Prends [ton brancard] et marche'?»
12 ηρωτησαν ουν αυτον τις εστιν ο ανθρωπος ο ειπων σοι αρον τον κραββατον σου και περιπατει
13 Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était, car Jésus avait disparu dans la foule qui était à cet endroit.
13 ο δε ιαθεις ουκ ηδει τις εστιν ο γαρ ιησους εξενευσεν οχλου οντος εν τω τοπω
14 Quelque temps plus tard, Jésus le retrouva dans le temple et lui dit: «Te voilà guéri. Ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire.»
14 μετα ταυτα ευρισκει αυτον ο ιησους εν τω ιερω και ειπεν αυτω ιδε υγιης γεγονας μηκετι αμαρτανε ινα μη χειρον τι σοι γενηται
15 Cet homme s'en alla annoncer aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri.
15 απηλθεν ο ανθρωπος και ανηγγειλεν τοις ιουδαιοις οτι ιησους εστιν ο ποιησας αυτον υγιη
16 C'est pourquoi les Juifs poursuivaient Jésus [et cherchaient à le faire mourir], parce qu'il avait fait cela le jour du sabbat.
16 και δια τουτο εδιωκον τον ιησουν οι ιουδαιοι και εζητουν αυτον αποκτειναι οτι ταυτα εποιει εν σαββατω
17 Cependant, Jésus leur répondit: «Mon Père est à l'œuvre jusqu'à présent; moi aussi, je suis à l'œuvre.»
17 ο δε ιησους απεκρινατο αυτοις ο πατηρ μου εως αρτι εργαζεται καγω εργαζομαι
18 Voilà pourquoi les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir: parce que non seulement il violait le sabbat, mais il appelait aussi Dieu son propre Père, se faisant lui-même égal à Dieu.
18 δια τουτο ουν μαλλον εζητουν αυτον οι ιουδαιοι αποκτειναι οτι ου μονον ελυεν το σαββατον αλλα και πατερα ιδιον ελεγεν τον θεον ισον εαυτον ποιων τω θεω
19 Jésus reprit donc la parole et leur dit: «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, sinon ce qu'il voit le Père accomplir. Tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.
19 απεκρινατο ουν ο ιησους και ειπεν αυτοις αμην αμην λεγω υμιν ου δυναται ο υιος ποιειν αφ εαυτου ουδεν εαν μη τι βλεπη τον πατερα ποιουντα α γαρ αν εκεινος ποιη ταυτα και ο υιος ομοιως ποιει
20 En effet, le Père aime le Fils et lui montre tout ce que lui-même fait, et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement.
20 ο γαρ πατηρ φιλει τον υιον και παντα δεικνυσιν αυτω α αυτος ποιει και μειζονα τουτων δειξει αυτω εργα ινα υμεις θαυμαζητε
21 En effet, tout comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, le Fils aussi donne la vie à qui il veut.
21 ωσπερ γαρ ο πατηρ εγειρει τους νεκρους και ζωοποιει ουτως και ο υιος ους θελει ζωοποιει
22 »Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils
22 ουδε γαρ ο πατηρ κρινει ουδενα αλλα την κρισιν πασαν δεδωκεν τω υιω
23 afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé.
23 ινα παντες τιμωσιν τον υιον καθως τιμωσιν τον πατερα ο μη τιμων τον υιον ου τιμα τον πατερα τον πεμψαντα αυτον
24 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m'a envoyé a la vie éternelle; il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
24 αμην αμην λεγω υμιν οτι ο τον λογον μου ακουων και πιστευων τω πεμψαντι με εχει ζωην αιωνιον και εις κρισιν ουκ ερχεται αλλα μεταβεβηκεν εκ του θανατου εις την ζωην
25 En vérité, en vérité, je vous le dis, l'heure vient, et elle est déjà là, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront.
25 αμην αμην λεγω υμιν οτι ερχεται ωρα και νυν εστιν οτε οι νεκροι ακουσονται της φωνης του υιου του θεου και οι ακουσαντες ζησονται
26 En effet, tout comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d'avoir la vie en lui-même.
26 ωσπερ γαρ ο πατηρ εχει ζωην εν εαυτω ουτως εδωκεν και τω υιω ζωην εχειν εν εαυτω
27 Et il lui a donné [aussi] le pouvoir de juger, parce qu'il est le Fils de l'homme.
27 και εξουσιαν εδωκεν αυτω και κρισιν ποιειν οτι υιος ανθρωπου εστιν
28 Ne vous en étonnez pas, car l'heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix et
28 μη θαυμαζετε τουτο οτι ερχεται ωρα εν η παντες οι εν τοις μνημειοις ακουσονται της φωνης αυτου
29 en sortiront: ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement.
29 και εκπορευσονται οι τα αγαθα ποιησαντες εις αναστασιν ζωης οι δε τα φαυλα πραξαντες εις αναστασιν κρισεως
30 Je ne peux rien faire de moi-même: je juge d'après ce que j'entends, et mon jugement est juste parce que je ne cherche pas à faire ma volonté, mais celle du Père qui m'a envoyé.
30 ου δυναμαι εγω ποιειν απ εμαυτου ουδεν καθως ακουω κρινω και η κρισις η εμη δικαια εστιν οτι ου ζητω το θελημα το εμον αλλα το θελημα του πεμψαντος με πατρος
31 »Si je me rends témoignage à moi-même, mon témoignage n'est pas valable.
31 εαν εγω μαρτυρω περι εμαυτου η μαρτυρια μου ουκ εστιν αληθης
32 C'est un autre qui témoigne en ma faveur, et je sais que le témoignage qu'il me rend est vrai.
32 αλλος εστιν ο μαρτυρων περι εμου και οιδα οτι αληθης εστιν η μαρτυρια ην μαρτυρει περι εμου
33 Vous avez envoyé une délégation vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
33 υμεις απεσταλκατε προς ιωαννην και μεμαρτυρηκεν τη αληθεια
34 Pour ma part, ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage, mais je dis cela afin que vous soyez sauvés.
34 εγω δε ου παρα ανθρωπου την μαρτυριαν λαμβανω αλλα ταυτα λεγω ινα υμεις σωθητε
35 Jean était la lampe qui brûle et qui brille, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
35 εκεινος ην ο λυχνος ο καιομενος και φαινων υμεις δε ηθελησατε αγαλλιασθηναι προς ωραν εν τω φωτι αυτου
36 Pour ma part, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean: ce sont les œuvres que le Père m'a donné d'accomplir. Ces œuvres mêmes que je fais témoignent à mon sujet que c'est le Père qui m'a envoyé,
36 εγω δε εχω την μαρτυριαν μειζω του ιωαννου τα γαρ εργα α εδωκεν μοι ο πατηρ ινα τελειωσω αυτα αυτα τα εργα α εγω ποιω μαρτυρει περι εμου οτι ο πατηρ με απεσταλκεν
37 et le Père qui m'a envoyé a rendu lui-même témoignage à mon sujet. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez pas vu son visage
37 και ο πεμψας με πατηρ αυτος μεμαρτυρηκεν περι εμου ουτε φωνην αυτου ακηκοατε πωποτε ουτε ειδος αυτου εωρακατε
38 et sa parole n'habite pas en vous, puisque vous ne croyez pas en celui qu'il a envoyé.
38 και τον λογον αυτου ουκ εχετε μενοντα εν υμιν οτι ον απεστειλεν εκεινος τουτω υμεις ου πιστευετε
39 Vous étudiez les Ecritures parce que vous pensez avoir par elles la vie éternelle. Ce sont elles qui rendent témoignage à mon sujet,
39 ερευνατε τας γραφας οτι υμεις δοκειτε εν αυταις ζωην αιωνιον εχειν και εκειναι εισιν αι μαρτυρουσαι περι εμου
40 et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie!
40 και ου θελετε ελθειν προς με ινα ζωην εχητε
41 »Je ne reçois pas ma gloire des hommes.
41 δοξαν παρα ανθρωπων ου λαμβανω
42 Mais je vous connais: vous n'avez pas l'amour de Dieu en vous.
42 αλλ εγνωκα υμας οτι την αγαπην του θεου ουκ εχετε εν εαυτοις
43 Je suis venu au nom de mon Père et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
43 εγω εληλυθα εν τω ονοματι του πατρος μου και ου λαμβανετε με εαν αλλος ελθη εν τω ονοματι τω ιδιω εκεινον ληψεσθε
44 Comment pouvez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres et qui ne recherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul?
44 πως δυνασθε υμεις πιστευσαι δοξαν παρα αλληλων λαμβανοντες και την δοξαν την παρα του μονου θεου ου ζητειτε
45 Ne pensez pas que c'est moi qui vous accuserai devant le Père; celui qui vous accuse, c'est Moïse, celui en qui vous avez mis votre espérance.
45 μη δοκειτε οτι εγω κατηγορησω υμων προς τον πατερα εστιν ο κατηγορων υμων μωσης εις ον υμεις ηλπικατε
46 En effet, si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, puisqu'il a écrit à mon sujet.
46 ει γαρ επιστευετε μωση επιστευετε αν εμοι περι γαρ εμου εκεινος εγραψεν
47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles?»
47 ει δε τοις εκεινου γραμμασιν ου πιστευετε πως τοις εμοις ρημασιν πιστευσετε
S21 Texte de la Bible Version Segond 21
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Bible Stephanus 1550 Ce texte appelé Textus Receptus est dans le domaine public.
- Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
- Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.
- Sous ces portiques étaient couchés un grand nombre de malades, d’aveugles, de boiteux et de paralytiques ; [ils attendaient le bouillonnement de l’eau.
- Car un ange du Seigneur descendait à certains temps dans la piscine, et agitait l’eau : et celui qui y descendait le premier après l’agitation de l’eau, était guéri de son infirmité quelle qu’elle fût.]
- Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.
- Jésus l’ayant vu gisant, et sachant qu’il était malade depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
- Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine dès que l’eau est agitée, et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
- Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton grabat et marche. »
- Et à l’instant cet homme fut guéri ; il prit son grabat et se mit à marcher. C’était un jour de sabbat.
- Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri : « C’est le sabbat, il ne t’est pas permis d’emporter ton grabat. »
- Il leur répondit : « Celui qui m’a guéri m’a dit : Prends ton grabat et marche. »
- Ils lui demandèrent : « Qui est l’homme qui t’a dit : Prends ton grabat et marche ? »
- Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c’était ; car Jésus s’était esquivé, grâce à la foule qui était en cet endroit.
- Plus tard, Jésus le trouva dans le temple et lui dit : « Te voilà guéri ; ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire. »
- Cet homme s’en alla, et annonça aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri.
- C’est pourquoi les Juifs persécutaient Jésus, parce qu’il faisait ces choses le jour du sabbat.
- Mais Jésus leur dit : « Mon Père agit jusqu’à présent, et moi aussi j’agis. »
- Sur quoi, les Juifs cherchaient encore avec plus d’ardeur à le faire mourir, parce que, non content de violer le sabbat, il disait encore que Dieu était son père, se faisant égal à Dieu. Jésus reprit donc la parole et leur dit :
- " En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, mais seulement ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce que fait le Père, le Fils aussi le fait pareillement.
- Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu’il fait ; et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, qui vous jetteront dans l’étonnement.
- Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, aussi le Fils donne la vie à qui il veut.
- Le Père même ne juge personne, mais il a donné au Fils le jugement tout entier,
- afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit à celui qui m’a envoyé a la vie éternelle, et n’encourt point la condamnation, mais il est passé de la mort à la vie.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l’auront entendue vivront.
- Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même ;
- et il lui a aussi donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme.
- Ne vous en étonnez pas ; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix.
- Et ils en sortiront, ceux qui auront fait le bien, pour une résurrection de vie ; ceux qui auront fait le mal, pour une résurrection de condamnation.
- Je ne puis rien faire de moi-même. Selon que j’entends, je juge ; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma propre volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.
- Si c’est moi qui rends témoignage de moi-même, mon témoignage n’est pas véridique.
- Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu’il rend de moi est véridique.
- Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
- Pour moi, ce n’est pas d’un homme que je reçois le témoignage ; mais je dis cela afin que vous soyez sauvés.
- Jean était la lampe qui brûle et luit, mais vous n’avez voulu que vous réjouir un moment à sa lumière.
- Pour moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, rendent témoignage de moi, que c’est le Père qui m’a envoyé.
- Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n’avez jamais entendu sa voix, ni vu sa face,
- et vous n’avez point sa parole demeurant en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu’il a envoyé.
- Vous scrutez les Écritures, parce que vous pensez trouver en elles la vie éternelle ;
- or, ce sont elles qui rendent témoignage de moi ; et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie.
- Ce n’est point que je demande ma gloire aux hommes ;
- mais je vous connais, je sais que vous n’avez pas en vous l’amour de Dieu.
- Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; qu’un autre vienne en son propre nom, vous le recevrez.
- Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne recherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul ?
- Ne pensez pas que ce soit moi qui vous accuserai devant le Père ; votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
- Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi.
- Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ? "
Oppositions à Jésus
Guérison à la piscine de Béthesda
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